Les morceaux de vos rappeurs préférés avant qu’ils ne deviennent célèbres

Malgré leur statut de star et leur talent incroyable, vos rappeurs préférés restent des êtres humains. Il leur a donc fallu du temps et de la pratique pour devenir les références qu’ils sont aujourd’hui. À travers des séquences qui remontent parfois jusqu’à leur enfance, découvrez les premiers pas dans le rap des plus grands MC.

Kendrick Lamar

Bien avant qu’il ne devienne Kendrick Lamar, le rappeur de Compton s’appelait K.Dot et lâchait des freestyles sur des parkings a capella. Des références à Ali et au Président Carter, une confiance en soit indéniable, Kendrick savait déjà se faire remarquer.

J.Cole

Difficile de ne pas être impressionné par les progrès de Cole lorsque l’on voit d’où il partait. On était alors loin de la voix douce et mélodieuse qu’il possède aujourd’hui. Pourtant, le potentiel était bien là. À cette époque il s’appelait “Therapist” et lâchait malgré tout quelques punchlines bien senties, ce qui est aujourd’hui devenu sa spécialité.

Mac Miller

À cette époque, c’est la cafétéria de son lycée qui servait au brillant Mac Miller de salle de concert. Il possédait déjà une certaine aisance dans son flow et lâche même un “Take over the world” lors du freestyle. Une phrase que l’on retrouvera des années plus tard dans le refrain de son plus gros hit “Donald Trump”. Pas de doute, c’est bien Mac Miller.

Kanye West

Alors qu’il était dans une voiture avec Consequence, Kanye se paye le luxe de kicker deux freestyles différents qui ressemblent fortement à de l’improvisation sur certaines séquences. Déjà très fort à l’époque, Kanye place quelques rimes multi-syllabiques, pour faire kiffer les puristes.

Eminem

En 1996, Marshall Matters aka Eminem se faisait un nom en participant à des battles dans sa région. Autant vous dire qu’il était plutôt doué. On reconnait facilement la propension d’Eminem à détruire ses adversaires en un contre un avec un flow déroutant et des textes particulièrement violent. La suite, tout le monde la connait.

Chance the Rapper

Il n’avait alors que 17 ans et s’apprêtait à sortir sa première mixtape dans les mois à venir. Le manque d’expérience se traduit par une gestuelle assez hésitante et un petit sourire, presque gêné d’être là. Malgré tout, sa voix avait déjà ce timbre si spécial qui fait de Chance l’un des rappeurs les plus talentueux de sa génération.

Jay-Z

Son nom n’est même pas évoqué et le freestyle ne dure qu’une poignée de secondes, mais il est tellement rare de voir Jay-Z rapper avec une telle vitesse que ça vaut quand le même le coup. On préfère toutefois son flow nonchalant, tel que nous le connaissons aujourd’hui.

Lil Wayne

Le plus frappant dans cette vidéo est la confiance et le charisme que dégage Dwayne Carter malgré son jeune âge. Le potentiel de celui qui n’était alors qu’un gosse est frappant. C’est sans surprise qu’il est par la suite devenu l’un des plus grands rappeurs du 21ème siècle.

Drake

Elle parait lointaine l’époque où le “6 God” pratiquait le freestyle. Pourtant, cette époque a bien existé. On retrouve ici Drake dans les rues de Toronto où il démontre l’étendu d’un flow rapide et assez impressionnant vu son manque d’expérience dans le rap à cette époque.

A$AP Rocky

Un style capillaire qui rappelle Chief Keef, un freestyle sur une instrumentale d’un morceau de 50 Cent, un flow adapté aux productions boom bap new yorkaise, un style vestimentaire des plus banals : difficile de s’imaginer que ce jeune rappeur deviendrait une icône du rap new yorkais, de la mode et du streetwear.