Ysaora Thibus, riposte narrative
Ysaora Thibus revient de New York où elle passa deux jours de la Fashion Week, entre les défilés et les gouttes de pluie. Observatrice captivée, la mode s’est imposée à cette dessinatrice de croquis devenue mannequin pour Dior en parallèle de sa vie d’athlète. Deux mois plus tôt, la fleurettiste remportait sur les bords du Nil la finale des championnats du monde pour décrocher la première médaille d’or d’une escrimeuse française dans la discipline depuis 1971.
Ysaora Thibus, riposte narrative
Ysaora Thibus revient de New York où elle passa deux jours de la Fashion Week, entre les défilés et les gouttes de pluie. Observatrice captivée, la mode s’est imposée à cette dessinatrice de croquis devenue mannequin pour Dior en parallèle de sa vie d’athlète. Deux mois plus tôt, la fleurettiste remportait sur les bords du Nil la finale des championnats du monde pour décrocher la première médaille d’or d’une escrimeuse française dans la discipline depuis 1971.
Après avoir souffert des Jeux olympiques de Tokyo, l’événement d’une vie d’où elle n’est repartie qu’avec une médaille d’argent par équipes, et pour lequel elle a dédié cinq ans d’une carrière, Ysaora Thibus s’est reconstruite autour de ses passions, de ses envies. Un chemin vers la sérénité au bout duquel elle trouva, coiffée d’un Némès, le Graal mondial.
Hors de la piste, Ysaora Thibus a étudié à La Sorbonne puis a obtenu un Master en Management. Alliance syncrétique de ses passions diverses, elle a créé Essentielle Stories, un média pour son combat le plus important, celui de la représentation des femmes dans le sport et dans la société. Pour Essentielle, elle interroge des athlètes féminines, met en valeur leurs histoires, leurs obstacles. À la tête de la direction artistique, l’escrimeuse se mue en créatrice pour imaginer une plateforme moderne et authentique.
Après avoir scruté les photographies avec un œil attentif et curieux, Ysaora Thibus s’est confiée sur ses combats, ceux qu’elle mène fleuret à la main et ceux de la vie, vers lesquels elle a voulu s’engager sans attendre la petite mort inhérente à la carrière d’une athlète de haut niveau. Une vie dépendante d’un équilibre minutieux qu’elle semble, à 31 ans, enfin avoir trouvé.
Après avoir souffert des Jeux olympiques de Tokyo, l’événement d’une vie d’où elle n’est repartie qu’avec une médaille d’argent par équipes, et pour lequel elle a dédié cinq ans d’une carrière, Ysaora Thibus s’est reconstruite autour de ses passions, de ses envies. Un chemin vers la sérénité au bout duquel elle trouva, coiffée d’un Némès, le Graal mondial.
Hors de la piste, Ysaora Thibus a étudié à La Sorbonne puis a obtenu un Master en Management. Alliance syncrétique de ses passions diverses, elle a créé Essentielle Stories, un média pour son combat le plus important, celui de la représentation des femmes dans le sport et dans la société. Pour Essentielle, elle interroge des athlètes féminines, met en valeur leurs histoires, leurs obstacles. À la tête de la direction artistique, l’escrimeuse se mue en créatrice pour imaginer une plateforme moderne et authentique.
Après avoir scruté les photographies avec un œil attentif et curieux, Ysaora Thibus s’est confiée sur ses combats, ceux qu’elle mène fleuret à la main et ceux de la vie, vers lesquels elle a voulu s’engager sans attendre la petite mort inhérente à la carrière d’une athlète de haut niveau. Une vie dépendante d’un équilibre minutieux qu’elle semble, à 31 ans, enfin avoir trouvé.