L’année prochaine, George Russell incarnera le renouveau de Mercedes-AMG F1, portant l’objectif de renouer avec le glorieux passé de l’écurie aux flèches d’argent. Vainqueur d’un Grand Prix, le Britannique vise à capitaliser sur son talent qui l’a propulsé comme l’un des pilotes les prometteurs de sa génération. Deux semaines après avoir retrouvé le combat pour les victoires dans une monoplace compétitive, Russell aborde désormais la fin de saison avec un espoir ressuscité.
Que peux-tu nous dire de ce que représente Clarence Ruth pour toi ?
Je suis inspiré par tout ce que fait Clarence dans l’industrie de la mode, et les récompenses qu’il a reçu. Sa vision est à l’origine de quelques-unes des plus belles pièces que j’ai vues. En symbiose avec les valeurs fondamentales de Tommy Hilfiger et de l’équipe (Mercedes-AMG F1 Team). C’est fantastique.
Quelle est ta pièce favorite de la collection ?
J’aime beaucoup le cardigan de rugby et le chino.
La mode est-elle un secteur dans lequel tu voudrais t’investir plus à l’avenir ?
100 %. C’est un secteur dans lequel je voudrais mon plonger un peu plus ! La mode est un univers auquel je n’ai pas toujours accordé beaucoup d’attention par le passé. Développer la relation avec Tommy Hilfiger m’a donné l’occasion de m’exprimer d’autant plus, d’une façon que je n’avais jamais encore explorée. Ça m’a permis de sortir de ma zone de confort, mais aussi de mieux connaître mes valeurs et la façon dont je veux être perçu.
As-tu déjà rencontré Tommy Hilfiger, qu’as-tu appris d’une telle icône de la mode ?
Tommy est un pionnier dans ce qu’on peut considérer comme un “trendsetter”. La liste de toutes les choses que j’ai apprises de lui serait trop longue à dresser, mais je retiens quelque chose, c’est la préservation de l’authenticité. C’est ce que Tommy Hilfiger et ses équipes ont si bien fait au fil des ans.
Quand j’ai un jour off, que je suis chez moi, je trouve ça presque plus épuisant que quand je suis actif. Mon esprit est constamment en train de penser à comment m’améliorer personnellement, comment aider l’équipe à s’améliorer, rendre ma monoplace plus rapide.
George Russell
En tant que pilote de Formule 1, est-ce difficile de développer d’autres passions en dehors du sport automobile ?
Je pense que c’est très important d’avoir des activités en dehors de la piste. Quand j’ai un jour off, que je suis chez moi, je trouve ça presque plus épuisant que quand je suis actif. Mon esprit est constamment en train de penser à comment m’améliorer personnellement, comment aider l’équipe à s’améliorer, rendre ma monoplace plus rapide. Parfois, j’ai besoin d’activités extérieures et d’autres passions pour reposer un peu mon esprit. J’aime beaucoup jouer au paddle avec mes amis, j’apprends la plongée en apnée en ce moment. C’est d’ailleurs l’activité que j’ai faite qui m’a le plus permis de déconnecter. Tu dois être tellement focalisé dans l’instant présent. Aussi, juste passer du temps avec mes proches, mes amis, m’aide à déconnecter.
Le Grand Prix de Monaco, où tu résides, vient de se terminer. Qui y a-t-il de si spécial dans cette course, qu’aimes-tu particulièrement faire là-bas ?
C’est vrai, j’ai beaucoup de chance de dire que je vis à Monaco. Ça semble parfois un peu irréel. C’est un endroit somptueux, si iconique. J’aime beaucoup courir de chez moi jusqu’au port, autour du circuit. J’adore y conduire aussi. J’ai une Mercedes SL décapotable (Mercedes-Benz 280SL “Pagode”) de 1969 que j’aime conduire dans les rues de Monaco, en passant par le casino. C’est quelque chose dont je ne me lasse jamais. C’est parmi les choses que j’aime le plus faire. C’est aussi à Monaco que je fais de la plongée, juste à côté du Musée Océanographique. Il y a une épave de bateau que je vois quand je vais sous l’eau, c’est vraiment une activité agréable.