Invité par Reebok classic, Views a pu se rendre à Londres pour assister à un événement célébrant les années 90 et plus particulièrement la réédition de l’iconique modèle Aztrek.
Notre « Reebok Trip » commence dans le gigantesque hall de la Gare du Nord, aux côtés de toute la délégation française. Nous sommes entourés de journalistes et d’influenceurs, mais personne n’a la moindre idée de ce que Reebok nous réserve. Une fois arrivés à Londres sous un beau soleil, nous n’avons toujours aucune information sur le déroulé de la soirée. Avec un climat qui contredit les clichés sur l’Angleterre, un grand bus nous emmène à notre hôtel situé sur les bords de la Tamise. Nous apprenons alors que nous disposons d’une petite heure pour nous préparer avant le début des activités. Première étape ? Un diner. Notre petit groupe de français s’installe dans un restaurant typiquement british, dont la déco semble tout droit sortie des nineties. Une ambiance chaleureuse et conviviale se fait très vite ressentir.
Au cours du diner, nous réussissons à soutirer quelques informations pour en apprendre un peu plus sur ce qui nous attend. La rumeur court que la soirée se déroulerait dans une ancienne usine désaffectée composée de 4 étages. Une rumeur qui a de quoi intriguer les différents invités. Une fois le diner fini, nous nous rendons dès lors à cette fameuse usine, dans la douceur de la nuit londonienne. Nous apercevons alors une cinquantaine de personnes survoltées, se trouvant toutes devant un grand bâtiment en briques rouges. Une belle lueur de néon rose se dégage du hall. Il est alors temps de pénétrer dans l’univers 90’s de Reebok.
Au premier étage, des piles de télévisions en exposition projettent des images issues d’anciennes publicités Reebok. L’exploration ne fait que débuter tandis que nous montons d’un étage.Nous tombons alors sur un mini-musée Reebok, retraçant l’histoire de la mythique Aztrek, de sa première édition lancée en 1992 à celle rééditée en 2018. Une autre paire iconique des années 90 est toutefois mise à l’honneur dans ce Hall Of Fame, la Daytona DMX. Une historienne du groupe Reebok, venue spécialement de Boston, nous raconte alors la riche histoire de ces sneakers. Une fois les détails historiques contés, cette dernière nous demande : “À quelle autre paire vous fait penser la Daytona ?”, ce à quoi quelqu’un répond instinctivement “Air Max 97.” La spécialiste américaine révèle que ces deux paires ont en effet été designées par la même personne : Christian Tresser.
Après ce passionnant voyage dans le passé, nous continuons de progresser dans le bâtiment. La pièce suivante est une salle d’arcade. C’est aussi là où se trouve l’un des bars de la soirée. Les machines de gaming vintage dégagent une chaleur étouffante, les invités sont survoltés, ne cessant de se défier à Street Fighter et autre Pong. Les plus téméraires se lancent dans des parties de Space Invader 2.0 en réalité augmentée. Au loin, l’un d’entre nous entend un britannique d’une cinquantaine d’années se confesse à une jeune femme “Ca me rappelle ma jeunesse.”
Nous progressons encore dans ce gigantesque complexe industriel laissé à l’abandon, pour tomber dans une chambre de teenager des années 90. Les invités en quête de repos s’allongent sur le lit et se prennent en photo dans ce décor teinté de nostalgie. Au dernier étage, une large salle est tapissée par des affiches Reebok rétro. L’ambiance est alors à son paroxysme, plusieurs DJ se succédant et embrasant la piste avec des hits techno des années 90. Pour la réédition de ses modèles iconiques Aztrek et Daytona DMX, Reebok a ainsi parfaitement su recréer, le temps d’une nuit, une soirée londonienne plongée dans la folie des nineties.